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PRÉAMBULE AU LABEL

Face aux dangers représentés par les principaux polluants, l’Organisation mondiale de la santé a décidé de durcir ses directives concernant la qualité de l’AIR. Il ne s’agit toutefois que de recommandations et non de normes légales.

C’est la première fois que ces seuils évoluent depuis plus de quinze ans. L’Organisation mondiale de la santé a fixé ce mercredi des limites plus contraignantes pour les principaux polluants de l’AIR, dont les particules en suspension.

Pas moins de sept millions de morts prématurés par an, en particulier dans les pays pauvres, sont attribuables aux effets conjoints de la pollution de l'AIR ambiant et de la pollution de l’AIR intérieur, selon l’OMS. Pour cette raison, l’entité a abaissé la quasi-totalité de ses seuils de référence qui portent principalement sur les polluants dits «classiques» : l’ozone, le dioxyde d’azote, le dioxyde de soufre, le monoxyde de carbone et les particules fines. Pour les plus petites d’entre elles (PM2,5, inférieures à 2,5 micromètres), la limite est notamment diminuée de moitié.

En termes de charge de morbidité, la pollution atmosphérique est donc comparable à d’autres facteurs de risques importants pour la santé, tels que la mauvaise alimentation et le tabagisme. Malgré tout, en 2019, plus de 90% de la population mondiale vivait dans des régions où les concentrations dépassaient les seuils de référence fixés par l’OMS en 2005 concernant l’exposition prolongée aux particules fines PM2,5.

En 2019, c’est en Asie du Sud-Est et dans la région de la Méditerranée orientale que les concentrations annuelles de PM2,5 pondérées en fonction du nombre d’habitants étaient les plus élevées. Ces particules peuvent pénétrer profondément dans les poumons (tout comme les PM10), mais aussi dans le sang.

Les particules fines proviennent essentiellement de la combustion de carburant dans différents secteurs, notamment les transports, l’énergie et l’industrie et l’agriculture. Dans les lieux clos, l’utilisation de combustibles solides et de kérosène dans les poêles et les fourneaux non ventilés, la combustion du tabac et la combustion à d’autres fins, sont d’autres facteurs importants de pollution atmosphérique.

D’où la création d’un nouveau label pour la qualité de l'AIR intérieur :

AIR PURIFIE

L’arrivée de la RT2012 a amplifié la prise de conscience des impacts sanitAIRes de la qualité de l’AIR intérieur, légitimant ainsi la création et la pertinence du label AIR PURIFIE. En effet avec des bâtiments étanches thermiquement, les désordres arrivent plus vite et plus fréquemment du fait de débits insuffisants de ventilation et d’une non-conformité à la réglementation trop fréquente.

// QUALITÉ DE L’AIR INTÉRIEUR

LABEL : AIR PURIFIE

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La présence de ce logo indique que l’espace dans lequel vous êtes est un lieu complètement purifié.

Cela veut dire quoi exactement ?

Le lieu est équipé d’un ou plusieurs systèmes de traitement d’AIR de notre marque Aethertec qui possède un filtre de qualité médicale !

Ces filtres absorbent avec notre appareil et sa technologie embarquée, l’ensemble des bactéries et des virus présents.

L’espace est donc totalement protégé en terme de qualité de l’AIR par nos systèmes et vous ne pourrez en aucun cas attraper de virus ou des bactéries dans cet établissement par le biais de l’AIR.

Ce label n’est donné qu’aux établissements purifiant les lieux avec suffisamment de puissance garantissant ainsi une vraie sécurité à 99,99% de protection pour l’espace concerné. Le respect des préconisations de changement des filtres en fonction des concentrations moyenne de la zone => ne peuvent avoir le label que les sociétés qui ont pris l’abonnement avec la livraison de nouveaux filtres quand c’est nécessAIRe (bonne fréquence, taille des espaces surveillées etc.. validé par des “experts” AETHERTEC) !

* attention cette garantie s’arrête à la qualité de l’AIR, cela ne peut pas couvrir une personne touchant une autre.

Cette garantie s’arrête à la Qualité de l’AIR générale et sur les polluants mesurés qui sont filtrés (PM10, PM2.5 & PM1, COVT, Pas CO2 ni Humidité). Cela ne peut couvrir une transmission directe (contact ou non respect des règles de proximité) ni les polluants spécifiques non mesurés que l’on peut retrouver par exemple en industrie.